Pour gunthar!!!!!!!!!!

Je n'ai juste qu'un truc à dire : les personnes aggressives sont les personnes qui n'ont pas confiance en elle... Hein petite fait qui finira par mégarde sous ma botte tralala

P.S : Gunthar est réellement un soumis ma parôle soumis

Umgrim a écrit:: Je n'ai juste qu'un truc à dire : les personnes aggressives sont les personnes qui n'ont pas confiance en elle... Hein petite fait qui finira par mégarde sous ma botte

P.S : Gunthar est réellement un soumis ma parôle

Ralala le nain, arrete de croire que je vais finir sous ta botte car je te signale que je vole dc deja faudra que tu m'attrapes!!!!! en plus aujord'hui je n'ai pas eu mon cours de boxe dc voila pour toi: combat de boxe

PS : Pour l'autre partie de ton message cela ne me concerne pas

Viktooooooooorrr!!!
Ramene tes fesses! Ainsi qu'Igor ton frere! Ya deux boulets à punir là.
Attapez moi Lolinator et Umgrim que jleur fasse comprendre ce qu'est l'autorité et le respect! Ils manquent sérieusement de bonnes éducation! Rhalala! Devoir sévir encore et encore.. à crorie qu'ils aiment que je leur fasse subir les pires humiliations! Cependant ce coup-ci celles-ci seront pratiquées au grand Jour! tout le monde vous regardera vosu agenouiller devant moi, me suppliant!

PS: Je prvenez seulement pour ne pas que le sujet parte en flood par respect à la fée pour son texte, si vous en faisiez autant, j'en ferais autant!

Indigné

Pourquoi ne pas emmenez la Fée ?!

Viktor détourna aussi tôt dès yeux devant arthur

Pour FéeDementia, prétendue prêtresse d’Athéna :

Cui-cui fait le poussin.. A peine sorti de l’œuf, qu’il piaille déjà, de tous ses nerfs, instinctivement, il montre sa volonté de vivre et d’être reconnu…
Alors qu’une lame dirigée d’une main de maître pourfendant l’air jusqu’à atteindre la base de la tête de sa cible ; psitt psitt fit le sang du poussin décapité. Gunthar ligota la source de l’effusion de sang. Pris un scalpel, puis, avec dextérité, entreprit d’éventrer le poitrail du piaf. Le sang émasculé ses mains, des filets de ce fluide divin coulaient sur son visage, telles des larmes engendrées pas l’excitation. Avec passion, il arracha les viscères, les boyaux volant dans les airs comme des confettis que l’on enverrait sur des mariés.
Malheureusement la corpulence d’un poussin est bien trop petite pour assouvir la bestialité de Gunthar. Un corps plus complexe, plus imposant avec plus de sang.. oui plus sang… c’est ce qu’il lui fallait.. toujours plus de sang.. du sang en abondance !
Une fée ! une elfe ! Oui une elfe au sang pur… un régal ! Du bon sang ! La chasse était désormais ouverte…
La Fée Demantia ferait très bien l’affaire… Elle avait une telle hargne ! Humm quelle excitation ! Quelle jouissance ! Il me la faut !

Elle se tenait là, dans la taverne démente , provoquant le maître des lieux, débitant ces paroles absurdes.. pathétique.. insouciant petit être.. si elle savait.. oui.. si elle savait le sort que je lui réserve, elle tremblerait de terreur, la liquéfiant sur place, les membres paralysés, cette sensation d’impuissante face à un être touché par la démence, capable de tout et surtout du pire… les pires souffrances l’attendaient, un calvaire innommable. Des flammes flamboyées dans ces yeux qui passés du noir au rouge, de l’obscurité surgissait la haine nuisible. Il sentait déjà les os se broyaient sous sa poigne, les craquements émettant des bruits qui résonnaient comme une symphonie macabre, allant en crescendo au fur et à mesure de la douleur éprouvée.
Quelle agonie lui réservait-il ? Jusqu’où pousserait-il les limites de ses souffrances infligées ? Ses instincts primaires refaisaient surface, il allait la marteler de coup pour calmer son ardeur bestial puis viendrait la lucidité… une torture plus intelligemment opérée…
Mais d’abord il fallait apaiser le lion qui rugissait en lui, celui qui réclamait la violence pure et dure.. L’attraper par la tignasse, la traîner de force jusqu’à sa salle, quelques touffes de cheveux s’arracheraient laissant des plaies ouvertes sur le cuir chevelu, un prémisse à ce qui l’attendait.. Il ballotterait la fée sans ménagement, lui fracassant le crane sur le mur, la giflant de manière dédaigneuse tout en expectorant quelques insultes.

Tout devint noir, Gunthar plaqua ces mains sur son crane et se tordit de douleur. Encore ces voix dans sa tête qui l’interrompit dans ses pensées démoniaque. Cette voix mélodieuse anéantissant toute animosité en lui, cette voix qui lui était apparu lors de sa première rencontre avec la fée Demantia. De quelle charme avait-elle usée ?! Il fallait que ces voix cesse définitivement !

Tu ne peux lui faire du mal, du mal..
Admet ton désir, ton désir..
Elle est ton égal, ton égal..
Avec elle, tu côtoieras l’ivresse de l’amour, de l’amour..

Que voulait bien dire toutes ces paroles ? Désir, mon égal, amour… c’est complètement absurde ! Son seul désir n’a toujours était que de faire du mal ! Nul femme ne pouvait se prétendre comme son égal et quant à l’Amour ! Pouahh ce n’était pas dans son vocabulaire, ça lui était étranger, quel inconfort ! c’est comme donner de l’eau à un nain.

Il allait montrer à cette voix que sa vraie nature gagnerait ! Il conduirait le jeune femme volante dans son Antre où il l’attacherait au gibet. Une fois mise en place, il pourrait s’adonner pleinement à son appétit funèbre.

Pour que son œuvre soit parfaite, il faudrait couvrir la fée de ce liquide vital rouge comme le feu, symbole de la vie, et qui d’après certains de nos ancêtres véhiculerait l’âme. Il se dirigerait vers son établi il un lapin gisait inerte, il prendrait un bistouri puis éventrerait minutieusement le lapin afin d’en extirper la peau, une fois la proie écorchée, il inciserait la pellicule de peau pour en extraire le sang qu’il verserait dans un bocal. La dépouille vide, il prendrait le bocal et enduirait Demantia d’ hémoglobine.

Dans un bruit un peu semblable à un clapotis que ferait sa langue en léchant encore ses dents et ses lèvres, tandis que le souffle chaud de Gunthar passerait sur son cou. Alors, la peau de sa gorge réagirait comme si une main approchait de plus en plus pour la chatouiller, et ce qu’elle sentirait, serait la caresse tremblante des lèvres sur sa gorge, et la légère morsure de deux dents pointues. Un festin onctueux pour le maître Dément, car l’âme de la chair est dans le sang.

A chaque extrémité de la croix, il y a un système d’engrenage permettant d’étirer les membres jusqu’à la rupture. Du moins il fallait préparé le corps et souvent finir de nous même pour la complète dislocation des membres de son tronc... le bourreau avec ses tenailles venait arracher la chair du supplicié de chaque cuisse et ensuite décharna les bras. L’engrenage se mettait en route grâce à une manivelle que Gunthar manipulait avec aisance. Les cordes emportaient les pauvres membres mais les muscles tenaient. Il fallait finir au hachoir et à grands coups détaillé la viande de haut en bas. Les muscles criaient, craquaient, rompaient d’un violent coup de fouet. Le tronc tombait à terre mais comme il n’y a rien qui ne doive finir à la finir, il fallait bien que Gunthar coupe la tête

Non il ne pouvait aller jusque là.. ce corps sublime.. ces yeux étincelants, son sourire mystérieux… et puis elle ferait une bonne démente, il fallait juste la dresser et non l’abîmer. Quel gâchis de l’abîmer en y pensant…

Il n’y a pas de gâchis ! c’est pour ton bien ! ne laisse pas d’incompréhensibles sentiments te déstabiliser. C’est ce qu’elle veut ! Elle a usée de sort pour te charmer ! Ne la laisse pas prendre possession de toi ! Tue-la ! Nooooonn je ne peux pas, je ne veux pas.. Je préfère m’en servir plutôt que de la tuer ! Elle me servira en tant que démente ! Mais son regard pénétrant mon âme.. comme ci elle me comprenait.. jamais je n’avais ressentit cela auparavant..
Que faire ?? la flagellation serait trop douce pour elle.. Non je la garderais attaché et prendrais possession de son corps.. l’embrasserait sauvagement, la mordrait à divers endroits. Hummm
Mais mais.. depuis quand désire-tu goûter à ce point ! Elle représente la pureté et l’innocence tout en stimulant le péché charnel.. Elle sera mienne.. mienne à tout jamais..
Que le diable soit témoin de cette union par le sang, ainsi le pacte signé, je la ferais mienne.

Que les vagues du désespoir t’emporte,
Par delà les flots tumultueux et les mers troubles,
Ton âme sera à jamais submergé,
Et dans cette eau, tu côtoieras les profondeurs.

Alors que ton esprit sera en perdition,
Que l’oxygène te manquera,
Ton sang se figera inexorablement,
Ta dernière once de vie s’évanouissant.

Ton dernier espoir surgira,
Une main salvatrice te délivrant,
T’offrant une nouvelle chance,
De voir à nouveau la volupté de la nuit.

La douce brise parcourant ton visage,
Glissante dans ta chevelure chancelante,
Infiltrant tes poumons, stimulant ton sang,
Réanimant ainsi ton être, vers un nouvel horizon.

Il ne tient qu’à toi de me suivre,
Cale ton pas sur le mien, adonne toi,
Mes désirs seront tes ordres,
Je deviendrai l’essence même de ta vie.

[u]

Pour gunthar, le tortionnaire sans coeur sauf pour moi:

Vôtre écrit m'a émoustillé, me fit rentrer en transe et j'imagine le jour ou je vous inviterai.

Un pan de la trame se dérobe sous vos pieds. Vous vous trouvez face à une petite porte en haut d'un escalier. Le vide sous vos pas et vertigineux et vos sens se dérobent.

Qu'allez vous choisir ? De retourner sur vos traces ou de franchir l'abîme vers mon Antre?

Si vous franchissez celui-ci alors des pas feutrés à peine audibles résonneront quand la porte se refermera. Derrière vous une voix amusée se fera entendre :

"Je vois que vous avez trouvé le chemin menant à ma demeure. Bienvenue ici. Mon nom est Demantia, on m'appelle également l'Unseelie. Il m'est arrivé souvent de porter d'autres noms mais je ne suis pas très partisane pour étaler ma généalogie, sauf lorsque je perds mon sang froid, et ce n'est alors pas du meilleur augure, si vous voyez ce que je veut dire.

Vous avez su vous frayer un passage à travers le dédale de mon royaume, je pense que vous ne devrez pas avoir trop de difficultés à vous y retrouver dans mon chateau, quoi que... Méfiante dans l'âme, vous devrez vous fier à vôtre sens de l'observation et de la déduction pour franchir les portes, seuils après seuils. Pas simple je vous l'accorde, mais telle est ma nature. Je suis femme de feu sous le ciel de ce monde, de mauvais caractère un peu trop souvent au goût des miens. Je n'aime rien tant que lire, jouer des tours, de plus ou moins mauvais goûts, suivant mon humeur et charmer la personne que je vise c'est à dire Vous. Mon aile du manoir est à mon image, ne vous étonnez pas si vous vous mettez à saigner soudainement, plus d'un objet anodins est piégés, souvent involontairement.

Au gré des Cours, vous trouverez des contes sur la Dernière Dame comme je me plaît à l'appeler, des informations sur les plantes, les familiers, les arbres, des recettes et tant d'autres choses qui n'ont pas vraiment de noms dans le français. Il se peut que vous croisez un loup hirsute au cours de vos pérégrinations, en principe il n'est pas méchant mais prenez garde tout de même, on ne sait jamais."

Une fois que vous serez à mon côté. Un peu de rêve et d'attente, cette fois, pour changer. Fermer les yeux et partir dans un autre monde. Chasser du bout de nos langues l'amertume du monde pour lui préferer le sucré d'une âme, le cuivre d'un sang.
Effleurer du bout de nos lèvres la douceur de chacun de nous, lécher mutuellement nôtre sang dégoulinant sur nos corps et de la vie. Et attendre les yeux mi-clos que la nuit revienne, attendre la dernière étoile, la plus petite et la plus sombre qui parfois à l'horizon brille. Parce que celle-ci sera nôtre.

Ensuite mon esprit pervers et sensuel vous portera le coup de grâce.
Et pour les clarté Unseelie de mon coeur ce soir je t'invoque:
"entre le cauchemar et le bonheur, toujours à trois pas de la faiblesse.
Et comme une dernière porte par toutes les voix qui me portent,
par les chemins abstraits que nous franchissons avec ou sans larmes.
Pour les noeuds de notre trame et les blessures de nos armes,
pour les aurores boréales sans lune pour se tendre sur le drap de l'étoile.
Pour les mots que je portent en moi
comme d'autre se brulent aux flammes de l'enfer ou du paradis,
dans la Cour de glace je suis."

Par cette incantation, vous deviendrez Mien.
Vous me laisserez vous posséder, mélanger Amour et Magie.
J'attirerai les serpents dans vôtre coeur.
Vous sortirez du profond de vos rêves
Pour suivre le diable en tenue d'Eve
Pour tombez dans le piège de mes bras.

Par contre si vous n'avez pas la force de franchir le seuil de ma porte alors:

Il y a pour moi trois chants de rage avant le combat
Il y a pour moi trois lames sur le trident rouillée
Il y a pour vous une fosse à purin qui vous attend
Une fosse qui vous ouvre les bras.
Regardez la. C'est pour vous.
Il y a pour moi trois arbres qui m'attendent.
L'un a le tronc en cendre, l'un est nu comme les morts.
Le dernier a l'état de graine demeure.
Je creuse un trou pour vous, pour qu'au chaud vous reposez
Je creuse un trou pour vous, pour que dans ma limbe vous soyez.
Il y a pour moi trois chants de guerre
Il y a pour moi trois champs de morts
Un pour les innocents au combat tombés, un pour les laches et les mutilés.
Et un pour les guerriers.
Prennez ma main et suivez moi.
La sortie est loin là bas, fermez les yeux, avec moi.
Une main sur le trident, une à la Dernière Dame
Allons marchons, loin là bas
Vers le trou que j'ai creusé pour vous.

Mais quelque soit vôtre choix vous deviendrez Mien soit sous forme charnelle soit sous forme spirituelle, à vous de choisir!!!!!!!

Sans hésitation, Gunthar choisit de franchir le pas de la porte menant aux abîme de l'Antre de la fée... qu'allait-t'il découvrir? Ce monde féerique défiant toute logique, dont la conscience humaine n'imaginerait même pas l'immensité. Serais-je bouleversé à jamais? Pris pour l'eternité dans la toile imaginaire de la fée? C'était inconcevable pour le maître dément, il n'était pas si aisé de le faire succomber à des charmes aussi attrayant soient-ils...

Le piège peut également se refermer sur vous également si vous ne vous y attendez pas.

Gunthar avancait d'un pas serein mais prudent dans un monde qu'il ne connaissait pas encore...

Depuis quelques temps le gnome et la fée se voyaient réguliérement ; une osmose s'est établie.
Aujourd'hui, la fée décide de proférer ses mots à son chér gnome :

Je me tiens à la porte du royaumes des Morts. Avec mon épée dans la main, et mon courage pour leur tenir tête.

Je me tient à la porte du royaume des morts, avec la puissance du feu et les larmes de la haine.

Avec la douleur du jour comme une obsidienne de sang, avec mon chant pour hurler ma rage.

Je me tient à la porte du Royaume des Morts. Et les glyphes, et les cris, et les monstres je ne les vois pas.

La femme en bleue d'opale dans son corsage d'éternité est là. Entre les pleurs de sa folie et les traînes des condamnés.

Je me tient à la porte du Royaume des Morts et je vous attend. Je me tiendrais encore là quand le Temps viendra me prendre.

Vivre encore et encore. Femme de l'ombre au coeur de l'ombre dans l'ultime bataille. Fille du temps au milieu d'un cauchemar.

Je me tient face à la porte du royaume des Morts. Je me tient face à la porte qui s'ouvre lentement. Battement de silence à jamais jailli de nul part.

Je me tenais debout, à la porte du Royaume des morts et je suis rentrée.

Allez vous me suivre mon tendre gnome?

Mais ne vous inquiétez pas, la mort est nôtre amie ; elle ne veut pas nous garder définitivement ; juste le temps de converser avec la faucheuse , la grande pourvoyeuse et nous repartirons .....

Ensuite j'enfilerais ma robe rouge. Pourquoi rouge , me demanderiez vous ; la réponse sera :

Le rouge...

Pour moi, c'est celle de la vie par excellence. La couleur du sang, du feu, de la lave, de l'amour, de la passion, de la démesure, de la guerre, de tous nos battements de coeurs.

La couleur qui résume une vie entière en quelques vibrations optiques.

Rouge. Incarnat, grenat, sanglant, foncé, sombre, rouge-gorge...tellement de mots, de variations, de nuances pour une seule couleur.

Rouge pour le sang de nos passions, rouge pour nos espoirs, rouge pour nos combats, rouge pour nos rires, rouge pour nos haines... rien ne l'arrête, rien ne la retient. Tyrannique et égoïste parfois. Dangereuse... la couleur rouge.

Et vous, quel tenue revêtirez- vous, aprés la visite chez la faucheuse?

Gunthar qui se tenait aux portes du royaumes des morts, regarda un temps la fée Démentia, se demandant de quoi pourraient-ils bien converser avec la faucheuse et pourquoi? Mais il savait que ceci n'était pas sans but et décida de passer le seuil de ces portes.

Je vous suis ma chère fée, ce royaume si mystérieux sera pour moi très instructif, peut-être vais-je revoir quelques ennemis passés, tombés sous le poids de ma folie, verrais-je peut-être plus de souffrances que je n'ai encore jamais vu, de lourdes lamentations dans cette cité dolente.
La mort n'est pour moi qu'un passage d'un monde à l'autre, d'un état actif à un état passif. J'ai entrevu tant de fois la mort la mort das les yeux de mes victimes juste avant qu'ils succombent de leurs blessures.

Ensemble allons rejoindre le maître des lieux.

Ô royaume des morts qui s'offre à nous,
Toi qui accueille en ton monde les esprits qui ont quittés leurs enveloppes charnelles,
Permets-moi de passer en tes terres arides, le temps d'un moment,
Nous, déments, qui te servons en clientèle...
Toi ma bien aimée, montre moi le chemin,
Toi qui a pour royaume les limbes pourpres
Où se trouve cette entité macabre qui te sublime tant?
Ici rien n’est visible, la noirceur est courante, l’air suffocant bien qu’un peu familière… l’odeur mortuaire lancinante et ce silence brisée par quelques sons effroyables des esprits demeurant ici.
Pourquoi crient-ils ainsi ? De toutes mes applications artistiques, d’aucuns de mes sujets n’a émis pareil son… cette résonance spectrale est si plaisante à l’ouie.

Je me demandais pourquoi nous n’entendions que ces esprit tortueux, plaintifs mais où sont les âmes heureuses ? Ne les entendrons-nous jamais ? Peut-être que…

Ainsi donc ce monde ne serait pas si différent de celui des vivants, seuls ceux qui se plaignent brisent le silence, les bien heureux sont toujours plus discret…
Et toi mon élue que pense-tu de tout ceci ?
Je te sens anxieuse mais aussi excitée, approchons-nous du but ? Crains-tu son pouvoir tout en l’adorant ?
Rassure-toi, je suis ici près de toi, ce voyage n’est qu’initiatique, après nous retournerons à nos activités et les développeront par nos vues là.

Ma main se resserra sur celle de mon Elue quand je La vis, c’était bien Elle, aucun doute.
Elle se tenait là devant nous, nous fixant, je fis mal à l’aise, vertigineux

Rencontre qui ne laisse indemne..

Au retour dans le monde des vivants, j’enlaçais ma fée puis sans mot dire, nous continuâmes la route jusqu’au sanctuaire où une longue nuit nous attendait…

Ma couleur sera le NOIR, pourquoi cette couleur ? Je vais vous la décrire par quelques phrases comme vous l’avez fait…

Le noir est une couleur lourde et sèche qui exclut l'illusion. Le noir absorbe toutes les autres couleurs. Symbole d'austérité et de rigueur, le noir représente la nuit, les ténèbres et la mort. C’est une couleur froide qui ramène toujours à la réalité.
Les personnes habillées de noir suggèrent la stabilité, ce quelles disent semble avoir plus de poids, elles sont plus convaincantes, et incitent crainte et respect.
Les personnes qui portent du noir craignent moins la souffrance, ils la trouvent nécessaire.
La couleur noire pousse à l'isolement, parfois à la paranoïa, non pas que je pense le devenir.
Les pierres noires, comme l'onyx apportent une protection contre les énergies négatives.
Tout comme l’hiver appelle le printemps, le NOIR évoque la promesse d’une vie renouvelée.

Une vie nouvelle s’offrant à nous après ce voyage dont nous jouirons sans commune façon.

La fée a besoin d'un moment de méditation et se met à prier.....

Une prière au vent.
Une prière au vent et à mon étoile sombre.

Une prière, un chant, un souffle.

Une prière au vent.
Une à la dernière étoile
Une à l'arbre blanc de mes rêves.

Une pour mes Trois mères.

Une prière au vent, une au Temps.

Un murmure de mes lèvres jeté, un baiser aux derniers bruissement.

Une prière au vent. Pour que tout aille bien.
Une prière à l'eau vive. Pour que tout aille bien.
Une prière aux racines immortelles. Pour que tout aille bien.
Une prière aux flammes dansantes. Pour que tout aille bien.

Une prière sur mon sang. Pour que tout se passe bien.
Une prière mon dernier chant............

Après sa période de méditation, la fée songe à sa relation avec son Gunthar adoré, en regardant les étoiles elle devient mélancolique.....

J'ai envie de t'embrasser, encore et encore.
Sur tes lèvres, au coin de tes yeux où la peau rit doucement, sur ton front pour veiller tes nuits.
Dans ton cou autant de fois que le cour bat en une vie.

Mais dans les cours, dans les cours, dans les cours Unseelie
Qui peut dire si sont sincères, les mots doux de l'enfer ?
Et dans le plus profond des cours, des cours Unseelie
Qui peut savoir les larmes qu'elle verse chaque nuit ?

Je voudrais te garder des lames du jour, des souffles du temps et des rires cruels d'enfants.
Te garder auprès de moi, autant de fois que chante le corbeau, que la mort affûte sa faux. Et faire rimer Eternité avec la trame des Destinées.

Mais dans les cours, dans les cours, dans les cours Unseelie
Comment voir le piège sous les pas du cortège ?
Et dans le plus profond des cours, des cours Unseelie
Qui peut dire si c'est Amour ou Sortilège ?

Des ciseaux de la Veille je te protégerai, et mes lèvres aux tiennes je donnerais. De mes mains je t'offrirais l'oubli, et les replis tièdes au creux de mon lit. Et pour toi toujours seront les draps de la Nuit.

Mais dans les cours, dans les cours, dans les cours Unseelie,
Verra t'il les tourments, qu'elle tisse dans son sang ?
Et dans le plus profond des cours, des cours Unseelie,
Le Gnome saura t'il quel funeste destin l'attend ?

Retenir ici bas tes yeux de miroirs sans tain. Garder tes mèches d'obsidienne. Pour la douceur de tes bras, j'ai tout laissé derrière moi. Amis comme ennemis, les douleurs comme les lois.

Mais dans les cours, dans les cours, dans les cours Unseelie,
Comment savoir qui est sauvé, qui va souffrir ?
Et dans le plus profond des cours, des cours Unseelie,
Pourra t'il s'en sortir, celui qu'elle doit sacrifier?

Je t'ai toujours attendu. Quand le monde n'était pas né, quand nous n'avions pas d'âge à donner, quand la pierre était rocher. A mes cotés reste vit et meurt car il n'y a que toi que j'aime.

Mais dans les cours, dans les cours, dans les cours Unseelie,
Peut-on savoir si c'est vérité ou mensonge ?
Et dans le plus profond des cours, des cours Unseelie,
Est-elle sincère, la sorcière tisseuse de songe ?

En voyant tes yeux fermés en moi tout s'est figé. J'ai su que tout était fini, que mon sort était scellé. Dors en paix mon gnome, car par toi seul mon âme vivait.

Mais dans les cours, dans les cours, dans les cours Unseelie,
Parfois se blessent, parfois se tuent de désespoir
Les inconscientes qui par folie défient les Moires.
Car cruel est le chant de Féerie.

Mais dans les cours, dans les cours, dans les cours Unseelie,
Je sais que je t'aime
Soit sous ta forme charnelle ou spirituelle
Et cet amour est éternel.

Je te hais pour cette faiblesse
Je t’aime pour cette force.
Bien que mes mots soient paresses,
Ils n’en restent pas moins précoces

Devant la douceur d’un baiser de bonne dose,
L’apocalypse s’étend épars les terres intimes.
Une caresse, un frisson, une note, l’abîme..

A pas hésitant, j’avance vers Toi ;
Là où l’Enfer paraît le Paradis..
Mes jambes sont coton..

Est-ce la peur ?

Non…

La chaleur en moi se propage et non pas la glace tétanisante.

J’approche de Celle...

Mon cerveau est inerte.. un pas en arrière et tout serait comme avant..

Impossible !

Mon cœur l’a choisit et il me guilde inexorablement vers Elle.

Mes mains rugueuses et maculées s’enrobent d’une peau de soie ;
Mes lèvres sèches s’humidifient et brûlent..

Je suis confus.. par.. par quel miracle ? Pourquoi ?

Mais mon cœur n’a de doutes,
Il continue son pèlerinage vers la Sainte ;
Je continue ma descente vers l’Infernale.

Me voilà à un pied de nain devant… ma destinée.

Ma main enlace la sienne,
L’endorphine se propage dans mon corps,
La légèreté me gagne,
Je reprend la marche..

Maintenant je ne suis plus seul à avancer..

Qu’importe les obstacles,
Qu’importe les épreuves,
Qu’importe la tristesse,

Oui peu importe ce quoi se dressera sur notre route.
Tout m’apparaît comme poids d’une plume.

Car je suis avec Toi,
Celle qui engendrera mon bonheur,
De cet Amour que je retrouve en Elle.

Tu es celle qu’Il a choisit,
Celle que je désire,
Ensemble, allons vers l’absolu et l’infini.
Voilà mon seul dire.

Le cœur battant, j’aborde à ton rivage amer,
Insensible au fracas des vagues bouillonnantes
Qui jettent des coraux aux épines cuisantes
Sur mon bateau que frappe un chapelet d’éclairs.

Armée de la tendresse exhalée dans mes vers,
Je terrasse un sabbat de sorcières démentes,
Occupées à briser tes envies flamboyantes
Par leurs incantations au parfum de l’enfer.

Dès que je m’accroupis près de ton corps livide,
Étendu sur un lit de goémons putrides,
Un bouquet de désirs enflamme ton regard.

Le soleil insolent qui embrase la plage
Dessine le chemin de notre urgent départ
Vers nos plaisirs ardents, loin de l’île sauvage

» gunthar\gunther
» Notre maitre Gunthar !
» Les nouveaux smiles de gunthar ( président ! ) sont nazes...
» Rassurez vous, les jours de Gunthar ne sont pas en dangers…
» Pour les fan d'olive et tom