L'Ordre des Démences Devenez Adepte et abrégez les souffrances d'Agueraton |
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| l'Art de la Torture | |
| | Auteur | Message |
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Gunthar Tortionnaire sans coeur (ou presque)
Nombre de messages : 2888 Fonction : maitre veneré ;p Date d'inscription : 10/04/2005
| Sujet: l'Art de la Torture Dim 3 Juin - 19:25 | |
| Gunthar lavait sa fière dague tout en sifflotant joyeusement ; les traits de son visage étaient détendus, les joues un peu rosis, il insufflait le bien être. Ces yeux brillants suggéraient une intense émotion encore récente.
Le maître dément balança ses avant bras d’un geste demi-circulaire se terminant par un pointage de ses deux index dans une même direction, son corps pivota sitôt d’un mouvement de translation, il glissa jusqu’au porte-serviettes d’où il en attrapa une bien propre, il l’a fit voler et la réceptionna de la pointe de son arme avant de l’essuyer minutieusement. D’une certaine manière, même s’il lui arrivait parfois d’être un peu brutal, il était assez rigoureux et délicat dans ses entreprises. Il prenait grand soin de ces outils de loisirs « pour un plaisir maximum », disait-il à sa fée.
Sa petite tâche ménagère accomplie, il retourna sur le sujet qui lui avait procuré tant de réjouissances.
Un amas de chair humaine s’entassait là, dans une cage encrassée, gisant dans un mélange de sang, d’urine et d’excréments d’où émanait une odeur nauséabonde que même une fosse à cadavres putréfiés par le temps ne saurait égaler. Le corps scarifié donnait l’impression qu’une centaine de lames venaient de le taillader, bien entendu ceci n’était l’œuvre que d’une seule et même personne, le tortionnaire.
Certains rats arrivaient en groupe et se disputer quelques morceaux de viscères éparpillés sur le sol ainsi que les graisses dégueulant des orifices ; un véritable festin pour ces petits charognards tandis que les vers post-mortem commençaient leur mission.
L’infortuné gardait les yeux révulsés, comme si l’iris avait voulu fuir l’image de son bourreau ; la bouche béante exagérément élargie proposait une fin des plus atroce, dans une agonie intenable.
Gunthar se souvint alors de ce majestueux excès de vocalise provoqué par cette souffrance insupportable où l’âme ne pouvant en endurer davantage, préféra s’échapper de l’enveloppe charnelle du désormais macchabée.
Il se remémora également chaque étape du supplice infligé..
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| | | Mwu Grand voyageur
Nombre de messages : 21 Date d'inscription : 17/05/2007
| Sujet: Re: l'Art de la Torture Dim 3 Juin - 22:13 | |
| Mwu la Fraga avait un goût plus long et surtout plus hardu pour rendre son amusement encore plus grand, il suffisait de multiplier les supplices à infliger et d'avoir de l'originalité dans les coups à infliger et grâce à ce mélange parfait, le bonheur du bourreau serait à son comble
Bout de chaire par bout de chaire, cris par cris,le retentissement de la douleur de la proie de Mwu se faisait entendre à des kilomètres bien au delà de la Salle de Torture. L'horrible scène était si sanglante que même un carnassier dégueulerait de dégoût.
Mwu avait le plaisir de découper une oreille plus l'autre alors que sa proie était attachée avec des clou à une croix. Après ses oreilles, il enlevait avec une espèce de pince,il arrachait tout les bouts des doigts,un par un, même ceux des pieds,après quoi,il prit une hache et découpa les mains ainsi que les pieds. Il drogua ensuite sa proie afin qu'elle s'endorme afin de recoudre les membres découpés...
Mwu alla ensuite réfléchir à nouveaux supplices qu'il allait infliger à sa proie. Et se demandait même si sa proie allait survir à ses nouveaux supplices.... | |
| | | Kal le + gros cul d'ague
Nombre de messages : 514 Date d'inscription : 19/04/2005
| Sujet: Re: l'Art de la Torture Mer 6 Juin - 22:10 | |
| L'érrance... Puis on ne sait comment mais on revient toujours chez soi. Kal n'avait plus de royaume, il avait laissé le sien à la mercie des flammes incandescentes, ses sujets avaient fui. Eux qui avaient toujours suivi fidèlement leur Dément de maître n'avaient pas été déçus par ce final. On avait pu contempler l'épais nuage de fumée qui se dégageait de la cité a des lieux à la ronde. Et la rumeur allait bon train sur ce qu'était devenu le seigneur Kal. Il avait voyagé pendant près d'un an; ça et là. Ecumant les bouges les plus infames, se vautrant dans la luxure la plus perverse des catins délurées.
Et finalement ses pas l'avaient menés aux portes du Sanctuaire. Il vit rapidement q'une salle de torture était à disposition des voyageurs. Chose qui du temps où Kal était dément était réservé exclusivement aux adeptes. La torture était alors un art trop noble pour être partagé avec les visiteurs, que l'on chassait le plus souvent sans grand ménagement d'ailleurs.
Pas nostalgie ou par aventure, il se faufila. Cette salle était sans doute une version grand publique ce celle qui occupait le Tortionnaire aux Catacombes. Des générations de ses prédécesseurs avaient lentement agrémenté la plus belle collection d'instruments de torture qui fut jamais réunie, et les victimes qui n'avaient jamais pu resortir de ces lieux alimentaient les rumeurs les plus folles.
Kal reconnu les sangles, les fers et la panoplie de base de Gunthar. Rien de bien méchant aux yeux d'un Dément, mais suffisamment pour faire frémir un non initié... Ou peut être plus apres tout, nul ne pouvais savoir ce qui se passait dans la tête des étrangers.
Mais les Déments avaient pour tradition de ne malmener que les gens conscentants, ou les habituelles capture de guerre faute de candidats la plupart du temps. Ce qui dans le fond revenait au même car ceux qui défiaient les Déments savaient qu'ils finieraient en objet d'étude pour les mains expertes de Gunthar.
D'ailleurs en parlant de son vieil ami et ancien chef, il se demandait s'il allait finir par se montrer. Kal était sûr que lui qui avait toujours rêver de l'enfermer dans une salle de torture ne manquerais pas l'occasion... | |
| | | feedemantia Unseelie
Nombre de messages : 1140 Fonction : Prêtresse de Kali et beauté cruelle de l'ODD Date d'inscription : 04/12/2006
| Sujet: Re: l'Art de la Torture Jeu 26 Juil - 14:22 | |
| Tandis que la Fée Demantia se reposait paisiblement dans son lit de satin, après la nuit agitée en compagnie de son époux Gunthar, elle fut alertée par des hurlements émis par une de ses prêtresse la Fée Evila. En effet, un gueux tentait d’abuser de celle-ci, Demantia ordonnait à ses guerrières de se rendre immédiatement au secours d’Evila. Le gueux fut maîtrisé, arrêté et conduit dans le donjon du château. La fée Demantia était hors d’elle et voulait infliger un châtiment exemplaire à cette charogne qui avait osé s’introduire dans son royaume et abuser d’une de ses prêtresse. Elle faisait venir sa bourreau « la Fée Mortifera » et lui demandait de s’occuper de celui-ci. Mortifera allait chercher ce gueux et le conduisait dans la salle de torture ou Demantia et toutes les fées du royaume s’étaient rassemblées pour assister aux tortures de ce misérable.
La Fée Demantia proclama « Que la torture commence »
A cet instant, la bourreau lui lie les mains et le place sur une échelle. Elle lui jette de l'alcool sur la tête et y met le feu pour brûler la chevelure jusqu'aux racines. Elle lui place des morceaux de soufre sous les bras et autour du cou, et les enflamme. Elle lui lie les mains derrière le dos et l'élève jusqu'au plafond, là, elle le laisse suspendue pendant trois ou quatre heures jusqu'au petit déjeuner. A leur retour, elle lui asperge le dos d'alcool et y met le feu, lui attache de très lourds poids au corps et l'élève à nouveau. Après cela, elle lui place le dos contre une planche hérissée de pointes acérées et le remonte une fois de plus jusqu'au plafond. Elle lui comprime alors les pouces et les gros orteils dans les vis et lui frappe les bras avec un bâton. Elle le laisse ainsi suspendue pendant un quart d'heure jusqu'à ce qu'il s'évanouisse. Puis elle lui presse les mollets et les jambes à la vis, elle le fouette ensuite avec un fouet conditionné pour le faire saigner. A nouveau, elle lui place pouce et gros orteils dans les vis, de six à treize heures, pendant qu'elle va festoyer avec les autres fées de la cour.
Le lendemain, le cérémonial de torture reprit :
Le gueux est détaché de l’échelle, mis tout nu et porté sur un chevalet (il s'agit d'un chevalet vertical posé contre le mur) où Mortifera le suspend avec deux petites cordes. Etant hissé à la hauteur voulue, la bourreau lui tire les jambes de chaque côté du chevalet, lui attache une corde sur chacune des chevilles et tire les cordes ensuite vers le haut, obligeant les genoux du gueux à toucher les deux planches jusqu'à ce qu'éclatent ses jarrets. Il est ainsi pendu pendant plus d'une heure. Ensuite elle tire de telle sorte les cordes qu'elle coupe les tendons des bras du gueux et mis ses os à nu si bien qu’il soit estropié pour le reste de ses jours.
Alors les yeux du misérable commencèrent à sortir, sa bouche se mit à mousser et à écumer, et ses dents à remuer comme des baguettes de tambours. Mais en dépit de ses lèvres tremblantes, de ses soupirs, du sang jaillissant de ses bras, de ses tendons brisés, de ses jarrets et de ses genoux, elle continue à frapper sa figure avec des gourdins pour arrêter ses cris de terreur.
Ensuite le corps du gueux tremblant est porté sur un chevalet plat, sa tête pendante placée dans un trou circulaire, son ventre en l'air, ses bras et pieds ligotés, car il doit endurer ses pires supplices. Ensuite des cordes sont passées sur le gras de ses jambes, le milieu de ses cuisses et de ses bras, et ces cordes sont attachées à ses chevilles. Il souffre sept tortures, chaque torture consistant en une torsion complète des chevilles. Alors la bourreau prend un pot plein d'eau dont le fond troué légèrement est placé près de sa bouche. Au début, le gueux l'accepte avec joie, car il souffre d'une soif écorchante et n'a rien bu depuis deux jours. Mais lorsqu’il voit que la bourreau essaye de le forcer à boire, il ferme les lèvres. Ensuite Mortifera lui écarte les dents avec une paire de pinces en fer. Bientôt son ventre commence à grogner terriblement à la manière d'un tambour, il ressent une peine suffocante avec sa tête penchée vers le sol, l'eau regorgeant dans sa gorge, étranglant et arrêtant sa respiration.
Il demeure six heures sur ce chevalet, chaque demi heure lui paraissant un enfer. Vers dix heures ce soir là, elle lui avait infligé soixante tortures diverses et continue encore une demi heure bien que le corps du misérable soit couvert de sang, qu’il soit percé de part en part, que ses os soient broyés ou meurtris et en dépit de ses hurlements, de ses lèvres et du grincement de ses dents. Le gueux se dit intérieurement : " Aucun homme, je le jure, ne peut concevoir les peines que j'endurent ni l'anxiété de mon esprit "
Quand Mortifera l'arrache du chevalet l'eau jaillit de sa bouche. Elle met des fers sur ses jambes brisées et le reconduit dans son donjon.
La Fée Demantia ordonne que toute la vermine de la cellule soit balayée et placée sur son corps nu pour q’elle le mange et dévore entièrement.
Ceci est le sort réservé à tous les hommes non conviés dans le royaume de la Fée Demantia. | |
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| Sujet: Re: l'Art de la Torture | |
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